******* Kévin *******
Il me reste seulement quelques semaines pour achever les études avec Shadé, et elle a rapidement assimilé toutes les connaissances que je lui ai transmises. Actuellement, elle maîtrise la lecture, l’écriture, et exécute même certaines opérations mathématiques. Elle se perfectionnera toute seule avec le temps. Depuis notre dernière sortie avec sa sœur, j’ai décidé de lui laisser de l’espace et notre relation s’est beaucoup améliorée. Elle rit et parle beaucoup avec moi.
Folakè a accompagné son oncle au village pour un enterrement. La veillée est pour ce soir, ce qui signifie qu’elle ne sera pas là. Cela tombe bien, Shadé et moi aurons l’occasion de profiter pleinement de ce moment. Des occasions comme celles-ci se présentent rarement. Shadé a encore porté sa robe moulante qui montre sa belle silhouette. En plus elle la porte sans soutien gorges ce qui montre ses seins fermes et bien dessinés. Je suis sans voix, peut-on avoir autant d’atour à un si jeune âge ? Et si ce n’est pas pour me provoquer, pourquoi porterait-elle ça ? Est-ce une manière indirecte de me signifier, ‘Tonton Kevin, je suis prête, je suis à toi’ ? Je sais que je lui plais et qui ne craquerait pas pour un mignon garçon comme moi ? Je lui annonce que pour aujourd’hui, on met de côté les études, afin de prendre un moment tranquille, vu qu’elle a l’air un peu fatiguée. L’idée, c’est de discuter un peu pour que je puisse voir comment elle s’exprime. Pour la détendre, je lui confie la mission d’aller chercher trois panachés pour elle et trois bières pour moi. Elle me fait savoir qu’elle n’est pas adepte d’alcool, mais je la rassure en lui disant que c’est vraiment léger, juste quelques gouttes mélangées au sucre. Et pendant qu’elle part chercher les boissons, j’en profite pour jeter un coup d’œil discret à son derrière.
Lorsqu’elle est rentrée, nous avons entamé une conversation animée. Nous avons discuté de divers sujets tout en sirotant nos boissons, et avec l’influence croissante de l’alcool, elle s’est même ouverte à moi. À un certain moment, je me suis levé, l’ai incitée à faire de même, et l’ai prise dans mes bras pour la réconforter. Je commence à la caresser, mais malgré son manque de réaction, je sens une réaction de ma part, je sens mon membre se lever. Je l’embrasse, elle me repousse et repars s’asseoir. Je pense que c’est un bon signe, elle a envie, mais elle joue à la timide. Elle a seulement consommé une bouteille de panaché et n’est pas très lucide. J’attends qu’elle prenne les autres bouteilles avant de passer à l’étape suivante. Après avoir consommé environ les deux tiers de sa bouteille de panaché, elle se lève et annonce qu’elle va aux toilettes. J’attends quelques minutes avant de l’attendre dans le couloir. Lorsqu’elle sort de la douche, je l’approche du mur et tente de l’embrasser. Elle essaye de me repousser, mais n’y arrive pas. Je l’amène dans la chambre, la met sur le lit, je retire sa robe et j’admire son magnifique corps. Elle veut se relever, mais je la ramène, elle me supplie de la laisser, j’aimerais bien, mais mon membre refuse, il a trop patienté et il veut être satisfait.
Après avoir terminé, je la vois dissimuler son visage dans sa main tout en pleurant silencieusement, puis elle s’endort quelques minutes plus tard. Je me lève, rassemble mes affaires et sors doucement ma moto pour éviter de faire du bruit dans la maison. En sortant, je remarque une colocataire de Folakè. Je la salue, mais elle me regarde d’un air étrange sans répondre, puis elle poursuit son chemin. Je la dévisage à mon tour, murmurant, « Ce n’est pas de ta faute hein, c’est la considération qui entraîne des foutaises. Si je te salue encore, que je devienne mouton, » puis je poursuis mon chemin.
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